Trois haïkus rafraîchissants.
Quelque part devant un troquet, à l’extérieur…
– Hé, garçon !
– Oui, bonjour M’sieur.
– Bonjour, 3 Haïkus s’il vous plaît.
– Allô ! 3 Haïkus pour la 5 !
– Hein ? Pour la 7 ?
– Non, pour la 5 !
– Ça marche !
Un énorme cumulonimbus vient soudainement assombrir la terrasse du bar.
Chose promise chose due, les trois Haïkus (lus séparément ou à la suite, au choix) :
J’ai moins d’énergie
Quand le soleil disparaît
Tel un végétal.
Je ne savais pas
Que j’étais si sensible à
La photosynthèse !
Un humain moyen
Vit comme une plante verte
Ou un plantigrade ?!
🙂
Une pensée pour « l’Homme à la tête de chou » 😉
Astuce de « fatigué », si vous en avez marre de compter vos syllabes poétiques, ou si vous avez un doute, cliquez ICI (Syllaber, gratuit)
Glomérule Néphron.
Pour vous servir 😉
Source Photo : cliquez ICI
Prose Pipe et Poésie 
de de photosynthèse ? t’es sûr ?
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Bonjour Gibu,
Oui l’hésitation que je voulais rendre dans le texte : « de… de » fait bizarre. Je vais modifier. Merci Gibulène pour ton passage et commentaire.
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Jolis ces haïkus, c’est pas facile comme exercice, j’aime bien l’enchaînement et le dernier plante verte / plantigrade ! Belle journée à toi, Sabrina.
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Bonjour Sabrina. Merci pour ton commentaire. Cool que tu aies apprécié l’exercice. Après relecture, j’ai une sacrée marge de progression quand même ! Bonne soirée 😉
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