
Un petit hommage avec ce bout de roman noir, rendu à Georges Perec. Ce génie qui créa un polar de 300 pages sans utiliser une seule fois la lettre « e » . Peut être l’ ancien propriétaire de cette Remington que j’ ai acheté dans ce vide grenier, machine à écrire dont la lettre « e » disfonctionnait !
titre suggéré par Les Carnets Paresseux :
« il tapa un roman noir durant la nuit »
Putai.. Jo. Pourquoi t as voulu l’ avoir ?
L ‘ outil du Roman noir … l’ occasion du jour !
L’ individu qui la bradait : « P…r…c » , sais plus !
Un nom armoricain … Maudit soit- il !
J’ aurai du lui … Il va y avoir du sang !
Bon calmons nous !
Sois pro Jo, un bon flic!
Mûris !
Mais pas trop, sinon tu pourris !
Un ripou jamais !
Un roman noir, hum voyons…
Max misa tout son magot sur « un cinq » 😉 un bon bourrin qui aurait pu finir.
Mais la barraca l’ a fuit, ça fait un bail !
Voilà, plus un radis…
Il lui fallait un truc divin.
Un puissant souhait pour avoir plus de sous, sortir du black-out !
Au nom du papa,
du fiston,
du saint machin,
Ainsi soit il …
Non, il lui fallait surtout agir sans mollir !
Finir par avoir la solution à «la disparition » .
Un fou a commis un rapt !
Mais a commis un oubli aussi : un pli, un mot d’ amour !
Y a t- il fait un grigri ? Hum, fou mais pas idiot !
A l’ issue de cet exercice au combien ardu, je n’envisage pas ma vie sans « e » ! Merci à Nuage 1962 et Clem Les narines des crayons qui par leur commentaire m’ ont mis sur la piste de Georges Perec que je ne connaissais pas. J’ ai commandé son livre «La disparition» , le polar écrit sans un seul «e» ! J’ ai hâte de le recevoir afin de découvrir tous les subterfuges utilisés pour cette prouesse littéraire.

Glomérule Néphron.
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