La médisance.
Je me rendais l’autre matin,
Chez le boulanger chercher le pain.
Je marchais derrière, discret,
Deux personnes qui médisaient.
Sport apparemment local !
National ? Non… mondial ?
Je n’ aime pas la médisance !
Elle n’ existe pas dès la naissance,
Mais alors d’ où vient elle ?
Et imaginez ce que celui ou celle,
Qui des autres médit,
Dira de vous ou de vos amis.
Et si la médisance … était une personne …
L’ on pourrait l’ imaginer rabougrie,
Toute vêtue de noir ou de gris.
Sa bouche tordue, moue aigrie,
Rongée par le fiel qui en est sorti.
Qu’ a t-elle subi dans sa vie,
Pour être devenue ainsi ?
Tous ces jugements, ces a prioris dits
Sur ces gens, par ignorance, par jalousie ?
Par esprit de vengeance,
Injustice, impuissance ?
Par complexe d’ infériorité,
de Caïn, de supériorité ?
Pourquoi les autres autant critiquer,
Fourbe, pour mieux les dominer ?
Guerre de pouvoir de la nature humaine,
Arriver à ses fins grâce à la rumeur ou à la haine ?
Pourquoi ses mots deviennent armes,
Traîtres poignards, génèrent les larmes ?
Pourquoi ne peut elle pas dire les choses en face,
Cette médisance … moi ça me dépasse …
Glomérule Néphron.
Mais en même temps qui peut dire qu’ il ne l’ a jamais ,
Jamais été, ne serait-ce qu’ un peu dans le passé.
Et moi le premier…
Oublié ? Oublié ! 😉
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