Ce mal qui nous ronge de l’intérieur,
Fait de nous des zombies du labeur .
Il nous aspire nos envies,
Il nous vide de notre énergie.
Terminé le regard rieur,
Envolée toute la bonne humeur.
Il faut que le travail soit fini,
A l’heure H et au jour J.
Le désespoir, du mal la fleur,
Détruira lentement toute lueur.
Métro, boulot, corvées et aussi,
Routine, pipi, les dents et au lit.
Cette vie de doux malheur,
L’esclavage du travailleur.
Nous envahit une profonde lassitude,
Les sables mouvants de l’habitude …
Glomérule Néphron.