Bloquée en vol stationnaire,
Figée dans cette lueur crépusculaire.
Que peut donc voir cette abeille sauvage,
Qui apparaît devant moi comme un mirage ?
Des Hommes, leur rage ?
De la nature sa beauté.
Des Hommes, l’ esclavage ?
De la nature sa majesté.
Des Hommes, leur sempiternelle déliquescence,
De la nature son éternelle renaissance ?
Du firmament, elle est à même de nous juger,
D’ un vif coup d’ aile, s’ y est envolée.
Dans sa nature, s’en est retournée,
Vivre en harmonie et en paix.
Glomérule Néphron.